Poème triste
Ta vie s’étiole au fil des jours Laissant ta jeunesse derrière toi. Tu as “la maladie d’amour” Et elle t’emmène à petit pas. Il est des saints à gueules d’anges Que l’on croirait enfants des dieux Mais qui, insidieusement, s’arrangent Pour, dans le cœur, te planter un pieu. Et ils sont là, qui font les beaux Et t’attirent dans leurs pièges motels. Est assassin l’infâme salaud Qui t’a tué dans…